C’est avec un temps gris et un bon quart d’heure de retard que nous quittons Cossonay pour rejoindre Jules et Loïc à Vennes, car aujourd’hui : direction Valais. En effet, les légendes sont bien vraies, quand il fait moche chez nous, le temps est bien plus clément en Valais, ce qui nous permet de spéléoter sans risque de crue ; et ça, on aime bien !
Ce dimanche 19 mai nous a enfin vus dans de bonnes conditions pour nous relancer à la découverte de la suite de la grotte des Rutelins!
Nous avions exploré un belle galerie remontant derrière le siphon de la cathédrale au début de l’hiver. Entre temps Nicola Boisard a mené une incursion en solo et a pu franchir le lac siphonnant “Azimut” et reconnaître une belle galerie et découvrir un nouveau siphon.
Une motivation hivernale nous prend : impossible d’attendre l’étiage, nous nous enthousiasmons à reprendre les travaux à la Pachamama malgré l’hiver. Les derniers travaux étaient cet été avec un essai de pompage de siphon qui avait échoué. Sans baisser les bras, nous voici de retour pour des minages ciblés autour de l’élargissement du siphon.
Ce dimanche 17 février, les plus motivés se lèvent tôt à la Vallée le lendemain d’une Assemblée Générale gourmande et entraînante. L’objectif du jour est de visiter la Borne aux Cassots (cavité du Jura français) pour un repérage en vue d’une potentielle initiation estivale. C’est également l’occasion d’initier notre nouveau membre SCVJ, Mathieu Cretin ; bienvenue à lui !
Sur l’initiative de Mat, reprise par Florian, une joyeuse et bariolée équipe de Vallée-jouissifs (c’est bien comme ça qu’on appelle ceux de la Vallée de Joux, non?) et de Jurassiens monte en raquettes dans une poudreuse de rêve à la grotte H004, entrée inférieure nouvellement raccordée au gouffre G3.
Initialement, nous devions monter à la grotte des Pingouins pour relever les enregistreurs du Zéphyromètre et d’un thermomètre, et si possible poursuivre la désobstruction entamée un peu plus bas. Compte tenu des conditions de neige et de vent annoncées – et finalement vérifiées! – nous décidons de visiter le Creux d’Entier et la rivière de Milandre depuis le Maira.
Date des sorties : Mai, août et septembre Cavité : Gouffre de la Pleine-Lune Participants : Arnaud, Patrick, Cyril (SCPF), Adrian (SGH-Basel), Yvan, Tristan – Guilhem, Paul, Tristan – Damiel, Léo B., Guilhem, Tristan But des sorties : Rééquipement du gouffre pour visite et à moyen terme juger des possibilités d’exploration Auteur de l’article : Tristan Le Gouffre de la […]
Samedi, le Gouffre Cadeau confirme son appellation: après avoir terminé un aval inférieur sur trémie dans les marnes, nous trouvons la suite principale en traversant un puits et en suivant le puissant courant d’air venant de l’amont exploré cet été. Seul le devoir – accompli avec toute la rigueur requise – de lever la topo nous retient de pousser plus en avant.
Après avoir repéré les crottes du diplopode en 2014 et posé des pièges à bière, puis relevé les pièges (sans succès) mais trouvé des exuvies en 2015, je profite de cette expé pour retourner dans cette cavité afin de rechercher un exemplaire vivant du diplopode, déterminé sur la base des exuvies et vu lors d’autres expés – mais non récolté!
Comme le Lapi di Bou offre toujours de nombreux gouffres prometteur, nous avons, cette année aussi, choisi une série d’objectifs alléchants, en fonction des envies et humeurs de chacune et chacun.
Priorité, bien sûr, au gouffre du Blizzard, supposé jonctionner tôt ou tard avec la grotte des Pingouins. Une première équipe est toutefois ressortie…
C’est l’été, on peut enfin profiter de l’accès facile aux grottes ! Comme on nous demande souvent des initiations, on en profite alors pour allier l’utile à l’agréable : faire une initiation et en même temps, découvrir une grotte que l’on connait pas ou plus vraiment.
Deux objectifs majeurs pour ce week-end: descendre un puits de 3 m, reconnu il y a quelques semaines au fond d’un méandre particulièrement boueux, et poursuivre l’escalade d’une cheminée, les deux objectifs étant dans la Grotte du Glacier. Et accessoirement, récolter des os de chauves-souris aperçus et mis de côté lors d’une précédente expé.
Tout a commencé le soir d’une vérification des comptes (comme quoi…) : “Eh Jacques, tu veux pas venir sous terre avec ton saxo?”. Alors qu’il pensait être à la retraite pour de bon, quelques mois plus tard, le voilà ressortir son vieux matos pour des tests avant de se lancer dans la Grotte de la Pachamama.
Comme les lapiaz d’altitude sont encore sous la neige – et le resteront encore un bon moment, vu l’enneigement de cet hiver – on opte pour ces deux petites grottes explorées dans les années 1970 et un peu tombées dans l’oubli. On en profite pour les positionner un peu mieux au GPS et faire quelques photos.
C’est à sept joyeux lurons que nous partons, mercredi matin, du local du Spéléo Club de Nyon en direction des Causses et de Millau. Deux retardataires nous rejoindront le soir même. Arrivés à l’auberge du Maubert, nous nous installons, puis allons repérer les entrées de quelques gouffres prévus au programme.
Incontournable rendez-vous à la boulangerie / tea-room de Vallorbe – en terrasse au mois d’avril! – pour se retrouver, croquer un croissant ou tout simplement émerger d’un sommeil manifestement trop court. Par le plus pur des hasards, nous croisons Seb, Pierre, Mille-pattes et une série de spéléos que je ne reconnais pas à l’intérieur du tea-room
Dans la région du Mont-Tendre et du Marchairuz, les cavités sont en général des gouffres. Il faut descendre sur plusieurs centaines de mètres de puits pour atteindre le collecteur, cet endroit où l’eau de surface se retrouve face à des couches de roches moins perméables […]
Date : Dernière semaine de juillet 2017 Cavité : Lonné Peyret par le GL102 et Salle de la Verna Participants : Denis, Guilhem, Jérôme, Johan (SCPF), Pascal, Patrick, Tristan, et les familles. But de la sortie : Descendre dans le Réseau du Lonné Peyret et visiter la Salle de la Verna Auteur de l’article : […]
Une sortie rondement menée grâce à notre initié du jour particulièrement attentif et motivé, à l’admirable équipement de la glaciaire et aux conditions météo clémentes qui ont contribué à maintenir un climat bien sec jusqu’à l’emplacement du bivouac.
Pour faire court, nous avons entamé la désobstruction d’un trou souffleur susceptible de nous mener directement dans l’une des branches éloignées du gouffre du Blizzard, exploré quelques belles galeries dans ledit gouffre du Blizzard, visité la grotte de la Givrée, poursuivi l’exploration du gouffre Cadeau alias 119 et relevé quelques capteurs de température.
Le but premier de cette sortie était de faire découvrir les profondeurs de la terre à Hassan, un guide de montagne marocain. De par son activité, il rencontre souvent des cavités inexplorées et cela éveille sa curiosité. Actuellement en Suisse, nous l’avons amené découvrir les profondeurs de nos montagnes […]
Après la précédente sortie en juin, l’envie d’atteindre le fond du Réseau du Rêveur était toujours présente. La petite avancée que j’avais faîte avec Rafael m’avait permis de voir ce qui suivait, mais l’équipement était plus qu’incomplet en raison du frottement de la corde et du manque d’amarrages.
C’est par une superbe journée ensoleillée d’avril que notre équipe de spéléos printaniers à mis le cap sur la cabane de Druchaux, encore entourée des dernières neiges jurassiennes. Objectif du jour : visite du gouffre des Papybooms par les néophytes n’ayant pas participé à l’exploration et découverte de la suite (chouette, de la première!), à savoir un beau P15 (approximativement, la topo devra le confirmer) et son éventuelle suite.
Depuis la descente de juillet 2016 dans le Réseau du Rêveur, l’envie d’y redescendre est toujours restée bien présente. Il n’a donc pas été difficile de se motiver à monter une sortie d’équipement un peu plus ambitieuse pour profiter de l’Ascension. Le but était clair : Toujours plus profond !