On pourrait y aller les yeux fermés : remonter la route du Marchairuz sur 100 m, tourner à droite, traverser les barrières, remonter la clairière, tourner à droite avant le tourniquet, accrocher la corde à la barrière, mettre une sangle sur l’arbre, descendre, tourner à gauche, ramper, faire la petite désescalade… On parle de quoi ..?..
Quoi et pourquoi : Quelques membres du SCVJ ont décidé, cette année, de se lancer dans un projet d’envergure: un projet d’initiation proposé à des jeunes universitaires de Lausanne. Pour ce faire, nous avons collaboré avec le Service des sports universitaires pour proposer cette activité avec un événement au mois de mars 2017. Une fois […]
Ce samedi 4 mars 2017, près d’une vingtaine de néophytes et de spéléos confirmés assurant leur encadrement se sont engouffrés dans la Grande Baume du Pré d’Aubonne. L’occasion de pratiquer dans des conditions réelles le maniement des instruments de descente et de remontée sur corde appris le samedi précédent.
Le Comité du SCVJ a le plaisir d’annoncer le lancement d’un événement organisé avec le Service des Sports UNIL-EPFL : Initiation à la spéléologie verticale L’événement se déroulera sur deux samedis. D’abord, les participants découvriront la spéléologie à travers une après-midi de présentation et de formation aux techniques verticales le 25 février : • Présentation sur […]
En ce week-end pluvieux de juillet, nous avons été braver les flaques d’eau du laminoir du Gouffre du Pré-d’Aubonne pour deux sorties d’équipement et d’initiation. Vendredi 23 juillet: sortie test de photographie sans flash (encore des progrès à faire…) et équipement de la grotte : Tristan, Damiel (initié confirmé, futur SCVJ?) et Oriane. Samedi 24 […]
En 2007: et en 2008, le vide vertiginasseux en question:
Voici quelques archives et quelques nouvelles du Pré d’Aubonne… Un jour de crue au Pré d’Aubonne: Petit historique récent: Nous (César, Arnaud, Julien) retournons voir le méandre terminal de – 120 m lors d’une petite visite coutumière. Après avoir malencontreusement semé César (cause en est notre iréfreinable enthousiasme), quel ne furent pas nos surprises de […]