La meilleure saison pour repérer les trous souffleurs est quelque part entre mi-janvier et fin février, lorsque la couverture neigeuse est déjà suffisamment épaisse pour que seuls les trous souffleurs les plus puissants continuent de percer (et pas toutes les fissures de lapiaz), mais avant que des tempêtes de Foehn relativement “chaudes” bouchent tout. Ce samedi, l’enneigement est entre 30 et 60 % de la normale pour la saison, selon les cartes du site SLF, et donc assez idéal pour notre objectif (moins pour le remplissage des barrages, ce printemps…).
Résultat, on repère 5 trous souffleurs, dont deux correspondent à des cavités connues et deux qui ne correspondent à rien de connu. D’excellent augure pour cet été!